27 janvier 2011 - PARIS - Quand le réseau de transports collectifs se dérègle, quels services savons-nous assurer aujourd'hui ?

27 janvier 2011

L’Union des Transports Publics et Ferroviaires et le Conseil National des Ingénieurs et Scientifiques de France organisent un cycle de conférences techniques sur l’exploitation des réseaux de transport collectifs à forte concentration de voyageurs, notamment en périodes d’incidents et de crises : méthodes d’exploitation, système d’informations et de gestion en situation dégradées, compte tenu des attentes des usagers.

Forte concentration des flux, multiplicité des acteurs, exigence des voyageurs pour une information délivrée en temps réel, dispositifs de sûreté et de sécurité renforcés… autant de facteurs qui complexifient la gestion de l’imprévu…. Lorsque l’incident ou l’accident se produit, comment continuer à assurer le service aux voyageurs ? Selon quels modes de coopération entre les acteurs ? Avec quels systèmes d’information et de communication ? Quel impact sur la qualité des services offerts aux voyageurs ?

Autant de questions soulevées par l'UTP et le Conseil National des Ingénieurs et Scientifiques de France lors d’un cycle de conférences qui auront lieu au premier semestre 2011. Chaque conférence, d’une durée de trois heures, sera bâtie autour d’échanges d’expériences.

La première conférence aura lieu le
de 14h30 à 17h30, à l'UTP

5/7 rue d'Aumale - 75009 Paris (métro ligne 12 ; station : Saint-Georges) sur le thème :



Quand le réseau de transports collectifs se dérègle, quels services savons-nous assurer aujourd'hui ?


(Cf. programme)


Objectifs : dresser un état des lieux des connaissances et des expériences, engager une réflexion collective sur les méthodes d’approche de ces questions complexes, et dégager quelques orientations et priorités d‘action à l’intention des opérateurs et des autorités organisatrices.
Nous souhaitons associer à ces conférences les ingénieurs et scientifiques concernés et nous vous remercions par avance de relayer l’information auprès des personnes susceptibles de contribuer à une réflexion collective sur ce sujet.
Merci aux personnes intéressées de renvoyer le bulletin d’inscription ci-dessous. avant la fin décembre 2010

Contact : Olivier Paul-Dubois-Taine
Président du Comité transport des Ingénieurs et Scientifiques de France
Email : opdt@wonadoo.fr

Bruno Gazeau
Délégué général de l'UTP


INSCRIPTION (obligatoire en raison du nombre de places limité) à : Debats_utp_cnisf@utp.fr
NOM : …………………. Prénom : ………..
Fonction : …………………
Organisme : ………………
Adresse : …………………
Téléphone : ……………..
Email : …………………
Assistera à la conférence sur les systèmes d’information et d’exploitation des réseaux de transport collectifs organisée par l’UTP et le CNISF le jeudi 27 janvier 2011 de 14 h 30 à 17 h 30
Souhaite participer aux conférences ultérieures programmées sur ces thèmes

Entre les deux guerres mondiales, la fédération des syndicats d'employés édita une affiche "La misère en faux col http://www.google.fr/#sclient=psy&hl=fr&site=&source=hp&q=Affiche+%2Bmis%C3%A8re+%2Bfaux+%2Bcol&aq=&aqi=&aql=&oq=&gs_rfai=&pbx=1&fp=bf1e203a8ae60f35
Sous la pression de son propriétaire, l'Etat, pour faire des économies sur le kilométrage de bus en circulation, les lignes d'autobus ont tellement été tronçonnées quand des lignes de RER reprenaient plus ou moins leur tracè que les responsables du terminus bus RATP Château de Vincennes éditent un prospectus expliquant aux usagers comment utiliser les alternatives. Pour certains trajets en direction de Marne-la-Vallée, qui étaient directs avant le RER, il faut maintenant prendre trois bus successifs.
Le massacre a commencé dès la mise en service du premier tronçon de RER à l'Est. Pour justifier l'investissement important du RER entre Nation et Boissy-Saint-Léger, les lignes partant du Château de Vincennes en direction de Nogent à Joinville ont été coupées à ces gares et remplacées par les navette 313 et 306. Des usagers utilisant les lignes partant de Château de Vincennes et allant à d'autres stations de métro que Nation se sont vu infliger trois ruptures de charge, alors qu'auparavant ils n'en subissaient qu'une.

Pour répondre par avance à certaines objections, mon ex et ensuite moi même avons été l'un des quatre représentants à la commission régionale coordonnant la RATP, la SNCF et les cars privés jusqu'au troisième trimestre 2001, date à laquelle elle a été remplacée par l'usine à gaz nommée "comité des partenaires.

PS il y a peut être une erreur dans l'e-mail de M Dubois-Taine