Les conséquences d’un choix résidentiel périurbain sur la mobilité
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Les conséquences d’un choix résidentiel périurbain sur la mobilité
Les conséquences d’un choix résidentiel périurbain sur la mobilité : pratiques et représentations des ménages
par Guy BAUDELLE, Gérard DARRIS, Jean OLLIVRO, Jean PIHAN, Laboratoire RESO (UMR CNRS 6590)
Texte complet : http://deey.free.fr/documents/Documents%20periurbain/Choix%20residentiel%20mobilite.pdf
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par Guy BAUDELLE, Gérard DARRIS, Jean OLLIVRO, Jean PIHAN, Laboratoire RESO (UMR CNRS 6590)
Texte complet : http://deey.free.fr/documents/Documents%20periurbain/Choix%20residentiel%20mobilite.pdf
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Résumé :
L’étude analyse les conséquences d’une installation périurbaine sur les pratiques de mobilité à partir d’une enquête auprès de ménages périurbains récemment installés près de Rennes. L’enquête confirme la forte mobilité de ce type de ménages et la prépondérance modale de l’automobile, dont on donne les causes : moindre durée du trajet, coût d’information et d’organisation de l’usage des transports collectifs auxquels est associé chez ces classes moyennes une perte de statut social. L’hypothèse d’une faible anticipation des nouvelles contraintes de mobilité induites par le choix périurbain est confirmée. Les ménages reconnaissent leur dépendance automobile, sans qu’on observe une rationalisation de la mobilité en dehors de quelques circuits de déplacements multi-objets ou de covoiturage pour les loisirs. Pour réduire le trafic automobile, il apparaît donc plus efficace d’agir à l’amont par une politique foncière et
immobilière favorisant un urbanisme plus compact.
"L’étude analyse les conséquences d’une installation périurbaine sur les pratiques de mobilité à partir d’une enquête auprès de ménages périurbains récemment installés près de Rennes. L’enquête confirme la forte mobilité de ce type de ménages et la prépondérance modale de l’automobile, dont on donne les causes : moindre durée du trajet, coût d’information et d’organisation de l’usage des transports collectifs auxquels est associé chez ces classes moyennes une perte de statut social. L’hypothèse d’une faible anticipation des nouvelles contraintes de mobilité induites par le choix périurbain est confirmée. Les ménages reconnaissent leur dépendance automobile, sans qu’on observe une rationalisation de la mobilité en dehors de quelques circuits de déplacements multi-objets ou de covoiturage pour les loisirs. Pour réduire le trafic automobile, il apparaît donc plus efficace d’agir à l’amont par une politique foncière et
immobilière favorisant un urbanisme plus compact.
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